lundi 11 octobre 2010

13- Lago de Coatepeque (ascension du Santa Ana)

13e jour >> lundi le 15 novembre 2010


Volcan Santa Ana >> 2 381 msnm 


Selon les arrangements prix la veille avec la police touristitque, le chef de police et son assistant viennent nous reconduire au Cerro Verde, gratuitement, dans la voiture du chef. On part du lac vers 10h étant donné que la rando débute à 11h sous la supervision de SalvaNatura, un OSBL qui administre le Parque nacional Los Volcanes. Il faisait soleil au lac, mais au Cerro Verde, c'est le brouillard total qui nous accueille et ne nous quittera pas. Du Cerro Verde, on part donc avec deux policiers de la police touristique, pas les mêmes, deux nouveaux. Un jeune guide local nous accompagne également (1$ par personne si ma mémoire est bonne). Il y a des frais de 6$ à payer à SalvaNatura en cours de route. 


En partant du Cerro Verde, on descend jusqu'en bas de cette montagne puis on débute l'ascension du volcan Santa Ana, aussi appelé par son nom nahuatl Ilamatepec. Sa dernière éruption date de 2005 et tua deux personnes. La montée se fait progressivement et la pente n'est pas trop inclinée; ça va très bien; de plus, on n'est pas affectés par la chaleur, car c'est brumeux et le temps restera frais toute la journée; parfait pour la rando... Au sommet, le paysage est époustouflant car une trouée dans les nuages nous laisse très bien voir le cratère du volcan et son lac émeraude à l'eau sulfureuse. On voit aussi moyennement le Lago de Coatepeque, mais on ne verra jamais le volcan Izalco. Dommage... On redescend après un moment, tout va très bien. Toutefois, à la fin, la montée du Cerro Verde est plus inclinée donc un peu pénible, car le policier me pousse pour que j'aille plus vite...  La rando durera trois heures et demie au total, aller-retour, soit 30 minutes de moins que le temps indiqué sur Internet par SalvaNatura


Au Cerro Verde, on mange une bonne soupe de poulet en attendant que les policiers viennent nous chercher pour nous ramener au lac. Au retour, les policiers nous amènent voir quelques miradors et subitement, le silencieux commence à faire du bruit; le chef de police décide qu'il faut le faire réparer, ce qui se fait promptement dans un petit garage des environs. Le soir, on mange une bonne pizza à trois; une française nous accompagne dans cette partie du voyage.


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