15- Juayua - Concepcion de Ataco
15e jour >> mercredi le 17 novembre 2010
Stéphane et moi partons ce matin en bus pour Concepcion de Ataco, la plus merveilleuse petite ville de la Ruta de las Flores, située à 1275 msnm. Ataco est d'origine précolombienne, fondée par les tribus pipiles au coeur de la sierra de Apaneca. Son principal moteur économique est la culture du café et cela se traduit bien sur les murales qu'on voit partout.
On a arpenté presque toutes les rues pour voir le plus de "casas pintadas" possibles. Tout le village est une oeuvre d'art en soi. Nous allons aussi à La Cruz del Cielito Lindo, où il y a un mirador d'où on peut observer toute la ville de Ataco et les environs.
Petite anecdote au moment de rentrer à Juayua en mi-journée... À un moment donné, le bus tombe en panne et il faut tous sortir, ce qu'on fait docilement, mais je crains d'attendre là un bon moment. Mais non, l'attente sera courte, un autre bus arrive promptement et nous ramène à Juayua. Je remarque entre temps deux jeunes infirmières vêtues d'un beau costume bleu, avec une belle coiffe. On discute ensemble de la situation médicale au Salvador et tout le tralala. En après-midi, le temps est nuageux et frais, je me promène à Juayua pour explorer ce que je n'ai pas encore vu et en profiter pour aller faire un tour au cybercafé.
Stéphane et moi partons ce matin en bus pour Concepcion de Ataco, la plus merveilleuse petite ville de la Ruta de las Flores, située à 1275 msnm. Ataco est d'origine précolombienne, fondée par les tribus pipiles au coeur de la sierra de Apaneca. Son principal moteur économique est la culture du café et cela se traduit bien sur les murales qu'on voit partout.
On a arpenté presque toutes les rues pour voir le plus de "casas pintadas" possibles. Tout le village est une oeuvre d'art en soi. Nous allons aussi à La Cruz del Cielito Lindo, où il y a un mirador d'où on peut observer toute la ville de Ataco et les environs.
Petite anecdote au moment de rentrer à Juayua en mi-journée... À un moment donné, le bus tombe en panne et il faut tous sortir, ce qu'on fait docilement, mais je crains d'attendre là un bon moment. Mais non, l'attente sera courte, un autre bus arrive promptement et nous ramène à Juayua. Je remarque entre temps deux jeunes infirmières vêtues d'un beau costume bleu, avec une belle coiffe. On discute ensemble de la situation médicale au Salvador et tout le tralala. En après-midi, le temps est nuageux et frais, je me promène à Juayua pour explorer ce que je n'ai pas encore vu et en profiter pour aller faire un tour au cybercafé.
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